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I - l’univers de la perception

D - les huit amplitudes de discernement

Voici l’hypothèse principale de la discernologie

Il existe différentes intelligences de discernement.

 

Chaque amplitude de discernement correspond à un certain nombre de dimensions, c’est-à-dire au champ dimensionnel dans lequel le discernement opère.

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Une intelligence de discernement est une aptitude à discerner et apprécier des phénomènes d’une amplitude dimensionnelle spécifique.

Il s’agit d’un processus de traitement des informations, qui permet de figurer une expérience globale de phénomènes répartis dans un certain nombre de dimensions. À chaque amplitude dimensionnelle correspond une compréhension, un type d’intelligence, une façon de filtrer et d'interpréter l'information, de distinguer les phénomènes les uns des autres, de se figurer le monde.

 

Notons que l’amplitude de discernement est indépendante de celle de la captation de l’information: Lorsque nous regardons une photo ou un dessin, nous observons des formes réparties sur deux dimensions mais nous les traduisons mentalement en phénomènes à 3 dimensions ou davantage. De même, quand on observe une personne de face, on la discerne en entier, en prenant en compte aussi son dos. Le discernement permet donc une compréhension des phénomènes globale et différente de la simple information captée par nos cinq sens.

Comme les phénomènes physiques, nous pouvons classer les phénomènes psychiques en fonction de leur amplitude dimensionnelle :

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Hypothèse de concentration du discernement : 

Plus un champ de discernement s’étend dans un grand nombre de dimensions, plus le discernement est complexe, plus son intensité est diluée dans les dimensions et plus sa clarté tend à être faible.

 

Hypothèse gestalt du discernement : 

La perception d’un ensemble est différente de la perception de la somme de ses parties, qui sont elles-même autant d’ensembles à part entière. On ne peut porter une attention complète à un ensemble et à ses parties simultanément, puisque les parties sont aussi des ensembles. L’attention est la même, qu’elle se porte à une échelle ou une autre dans les ensembles fractals. C’est pourquoi aucune amplitude de perception n’est fondamentalement meilleure qu’une autre.

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